La mise en oeuvre des nouveau programmes d'histoire dans le secondaire marque une étape de plus dans la "fabrique de déracinés" et la rupture de transmission de notre héritage.
A lire : la contribution de l'Homme Nouveau, dans son n°1477
Les jeunes français sauront-ils encore qui était Louis XIV ?
Ce serait une chance pour l'enseignement catholique de marquer sa différence, si il n'était pas pieds et poings liés aux programmes officiels.
Souvenons-nous des paroles de Benoît XVI en juillet dernier :
"Sans mémoire, il n'y a pas d'avenir. A une époque, on disait que l'histoire était maîtresse de vie! La culture consumériste actuelle tend, au contraire, à aplatir l'homme sur le présent, à lui faire perdre le sens du passé et de l'histoire. Mais elle le prive alors de sa capacité à se comprendre lui-même, à percevoir les problèmes et à construire l'avenir. C'est pourquoi, chers jeunes, je veux vous dire que le chrétien est celui qui a une bonne mémoire, qui aime l'histoire et qui cherche à la connaître".