Pèlerinage de Chartres Pentecôte - Notre-Dame de Chrétienté - Mot-clé - Jean-Paul II2023-03-22T13:11:06+01:00NDCurn:md5:16918e1253d461f2db51c02c877f379fDotclearle 15 août 1983 : discours de Jean-Paul II, en pèlerinage à Lourdes, adressé à la France.urn:md5:4e8ccf78a5c9040770369e0ed06e3cd12018-08-15T14:19:00+01:002018-08-19T13:22:43+01:00comNDCactualitéChrétientéFormationJean-Paul II<p>Extrait du discours prononcé par le souverain pontife en fin de visite à Lourdes en 1983.</p> <p><a href="https://www.nd-chretiente.com/dotclear/public/images/2018_08/20180815JeanPaulII.jpg" title="20180815JeanPaulII.jpg"><img src="https://www.nd-chretiente.com/dotclear/public/images/2018_08/.20180815JeanPaulII_s.jpg" alt="20180815JeanPaulII.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="20180815JeanPaulII.jpg, août 2018" /></a>« Catholiques de France, en tant que Pasteur universel mais solidaire de mes chers Frères dans l'épiscopat, vos Evêques; je vous encourage à vous maintenir en mission. Toute nation a son histoire humaine originale. Mais les peuples qui ont reçu un très riche héritage spirituel doivent le préserver comme la prunelle de leurs yeux. Et concrètement, ces nations ne préservent un tel héritage qu'en le vivant intégralement et en le transmettant courageusement. O terre de France! Terre de saint Pothin et de sainte Blandine, de saint Denis et de sainte Geneviève, de saint Bernard et de saint Louis, de saint Yves de Tréguier et de saint Bertrand de Comminges, de sainte Jeanne d'Arc, de saint François de Sales et de sainte Jeanne de Chantal, de saint Vincent de Paul et de sainte Louise de Marillac, de saint Jean Eudes et de sainte Marguerite Marie, de sainte Marguerite Bourgeoys et de la bienheureuse Marie de l'Incarnation, de saint François Régis et de saint Louis Marie Grignion de Montfort, de sainte Jeanne Delanoue et de la bienheureuse Jeanne Jugan, de saint Jean Baptiste de la Salle et de saint Benoît Labre, des nombreux missionnaires comme saint Isaac Jogues, le bienheureux Théophane Vénard et saint Pierre Chanel, du saint Curé d'Ars, de sainte Thérèse de Lisieux, de Frédéric Ozanam et de Charles de Foucauld, de saint Michel Garricoïts de cette région, de sainte Bernadette, canonisée voilà juste cinquante ans, au cours de la précédente Année de la Rédemption!<br />
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Catholiques de France, vous avez hérité d'un patrimoine considérable de foi et de traditions chrétiennes. C'est ce trésor pour lequel les saints de votre pays ont tout sacrifié, afin de "s'en emparer", comme le demande l'Evangile, et de le partager avec leurs frères, tellement ils étaient persuadés que l'homme intégral est fait d'ouverture à l'Absolu et de brûlante charité! »<br />
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<h4><a href="http://w2.vatican.va/content/john-paul-ii/fr/speeches/1983/august/documents/hf_jp-ii_spe_19830815_cattolici-francia.html">L'intégralité du discours est ici</a>.</h4>GRANDIR, CONDUIRE et SERVIR pour permettre à chaque personne de S’ACCOMPLIRurn:md5:ef967ebdd195eab9426fdc232c8a7e3a2017-09-07T19:57:00+01:002017-09-07T19:57:00+01:00comNDCactualitéAmitié françaiseEnseignement social de l EgliseFormationJean-Paul II<p>"Passeurs d'hommes" : une formation proposée par ICHTUS</p> <h2>"Passeurs d'hommes" : une formation proposée par ICHTUS<br /></h2>
<p>Tout homme dans le monde est appelé à être un PASSEUR d’hommes vers la liberté parce qu’il est responsable de lui-même et de son prochain mais aussi des sociétés où il vit. La vie est un don mais c’est aussi une tâche. Comment être humain ? Comment se forger et garder un cœur d’homme ou de femme ? Comment assurer cette responsabilité de PASSEUR ?<br />
Pour s’accomplir, chacun doit GRANDIR puis CONDUIRE les autres en assumant des responsabilités de parent, d’éducateur, de management afin de SERVIR le bien commun par son travail, en exerçant des responsabilités économiques et politiques dans la société.<br />
<a href="https://www.nd-chretiente.com/dotclear/public/images/2017_09/20170908ICHTUSpasseursv1.png" title="20170908ICHTUSpasseursv1.png"><img src="https://www.nd-chretiente.com/dotclear/public/images/2017_09/.20170908ICHTUSpasseursv1_s.png" alt="20170908ICHTUSpasseursv1.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="20170908ICHTUSpasseursv1.png, sept. 2017" /></a>
Ce parcours, <a href="http://www.ichtus.fr/">proposé par ICHTUS</a>, est fondé sur l’enseignement de saint Jean-Paul II, pour découvrir ce qu’est la personne humaine, son désir du bonheur et de vie en société, les principes et habitus qui gouvernent ses actes. Il sera animé par François-Xavier Clément, directeur de Saint-Jean de Passy, Bruno de Saint Chamas, président d’Ichtus avec la participation du Père Stalla Bourdillon, curé de Sainte Clotilde, responsable du service pastoral d’études politiques (Spep), Michel Boyancé, doyen de l’IPC, Pierre-Yves Gomez, directeur de l’Institut Français de Gouvernement des Entreprises (I.F.G.E.) et fondateur des parcours Zachée, Mathieu Detchessahar, professeur des universités à l’IAE de Nantes, Philippe Pichot-Bravard, docteur en droit et maître de conférence en histoire du droit public, Alexandre Dianine Havard, fondateur de l’institut de leadership vertueux qui viendra spécialement de Moscou.<br />
Vous êtes chefs d’entreprises, responsables d’équipe, enseignants, éducateurs ou tout simplement parents et vous disposez de peu de temps. Vous désirez développer votre leadership pour conduire à l’excellence ceux dont vous avez la responsabilité ? Venez découvrir la richesse et la cohérence d’une vision de l’homme associée à une pratique qui a démontré sa fécondité dans le temps. Ce parcours s’adresse en priorité à ceux qui exercent ou exerceront des responsabilités humaines dans la société et désirent permettre à des enfants, des élèves, des équipiers de s’accomplir.<br />
Ce parcours se déroule sur 11 séances qui forment un tout, le lundi de 20h à 21h30, à partir du 2 octobre 2017 dans les locaux de Saint-Jean de Passy, 72 rue Raynouard Paris 75016.<br /></p>
<p><a href="http://www.ichtus.fr/passeurs-paris/">Voir le programme et s’inscrire</a></p>À propos du totalitarisme et de la terreur - un article de Joël Hautebert dans "l'Homme Nouveau"urn:md5:df5c6d00160da9f445df39a288fd98dd2017-03-10T16:24:00+00:002017-03-11T15:36:57+00:00comNDCactualitéJean-Paul IITotalitarisme<p>La culture de mort qui envahit nos sociétés répond-elle à la définition du totalitarisme ? Une lecture contemporaine des analyses d’Hannah Arendt semble bien confirmer les prémonitions du pape Jean-Paul II concernant nos sociétés où les êtres humains sont superflus et peuvent être éliminés au gré des idéologies.</p> <p><a href="https://www.nd-chretiente.com/dotclear/public/images/2017_03/20170311HommeNouveauCouv.png" title="20170311HommeNouveauCouv.png"><img src="https://www.nd-chretiente.com/dotclear/public/images/2017_03/.20170311HommeNouveauCouv_s.png" alt="20170311HommeNouveauCouv.png" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="20170311HommeNouveauCouv.png, mar. 2017" /></a><br /></p>
<h2>Joël Hautebert - "l'Homme Nouveau" n° 1634 du 11 mars 2017<br /></h2>
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Dans ses encycliques Veritatis splendor (nn. 99 et 101) et Evangelium vitæ (nn. 20 et 96) publiées en 1993 et en 1995, le saint pape Jean-Paul II dénonçait la possible dérive totalitaire des démocraties modernes. Ces fermes mises en garde suscitèrent bien des réactions d’émoi. D’aucuns ont pu penser et pensent encore que les propos du pape faisaient preuve d’un anachronisme coupable ou bien qu’ils révélaient un défaut de rigueur conceptuel par l’emploi inapproprié du substantif « totalitarisme ». Telle n’est pas notre opinion, car il nous semble au contraire que la culture de mort revêt un caractère systémique dans nos régimes contemporains, similaire à ce que l’on a pu observer dans le passé. Pour s’en convaincre, il convient de reprendre l’une des analyses les plus perspicaces du système totalitaire, celle proposée par Hannah Arendt dans les années 1950, à partir des expériences politiques national-socialiste et soviétique.<br />
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Aux yeux de la célèbre philosophe juive allemande, le concept de totalitarisme repose essentiellement sur les deux critères suivants : l’idéologie et la terreur. L’idéologie est présentée comme le moteur du régime, c’est-à-dire ce qui fait agir tant les gouvernants que les citoyens. La terreur correspond à la nature du régime, ce qui le fait être, comme on peut dire que la nature de la monarchie consiste dans le fait qu’elle soit dirigée par un roi, l’aristocratie par une élite, etc. Conséquence selon Hannah Arendt de la faillite du sens commun, l’idéologie est un système d’explication du monde déconnecté du réel et de l’expérience. Les idéologies totalitaires, révolutionnaires, sont progressistes car elles énoncent l’idée d’un mouvement permanent, fondé sur des lois prétendument scientifiques, celle de la « nature » (1) (évolutionnisme de Darwin appliqué à la race), d’un côté et celle de l’histoire, de l’autre (marxisme).<br />
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La définition de la terreur est particulièrement fine puisque selon cet auteur, elle a pour mission d’affranchir les processus énoncés par l’idéologie de tous les obstacles qu’ils peuvent rencontrer… y compris l’homme lui-même. À l’inverse des exécutions d’opposants auxquelles recourent les régimes autoritaires, la terreur est permanente et vise tout le monde, principalement des innocents. Selon Hannah Arendt, « cette humanité (l’homme nouveau, but ultime des idéologies), qui constitue à la fois le produit ultime et l’incarnation du mouvement de la Nature ou de l’Histoire, demande des sacrifices continuels – l’élimination constante de classes ou d’éléments raciaux hostiles, parasites ou malsains – afin de conquérir son éternité meurtrière ». (2) La terreur exécute les verdicts de mort dictés par l’idéologie. La liquidation de masse est donc intrinsèque au système totalitaire. Il en résulte que « le totalitarisme ne tend pas vers un monde despotique sur les hommes, mais vers un système dans lequel les hommes sont superflus».(3) Cette phrase synthétise la quintessence du totalitarisme selon Hanna Arendt, qui a le mérite de définir un système politique inconnu jusqu’alors, dont les caractéristiques ne résultent pas du seul contexte social et politique, car d’autres idéologies peuvent devenir totalitaires.<br />
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À la lecture des deux encycliques citées, les allusions explicites de saint Jean-Paul II au totalitarisme ne sont pas éloignées du schéma qui vient d’être présenté, même s’il est question des démocraties occidentales. En effet, les divers paragraphes traitant du sujet mentionnent le relativisme éthique et la culture de mort à travers les lois autorisant l’avortement et l’euthanasie, formes nouvelles d’idéologie et de terreur de masse au sein d’un système politique.<br />
Si l’idéologie s’exprime aujourd’hui différemment, elle garde ses traits caractéristiques à travers le relativisme éthique contemporain : déconnexion du réel, progrès linéaire et mouvement permanent. La société change nous dit-on, elle évolue, il n’y a pas de nature humaine et tous nos comportements sont des conditionnements sociaux, tous sujets aux mutations. Les sciences sociales fournissent aujourd’hui l’ossature intellectuelle de la « scientificité prophétique », annonçant des lendemains forcément meilleurs, quoique indéfinis. Ce processus justifie la phase nouvelle de la révolution anthropologique au service de l’émancipation narcissique des volontés pures, autrement dit au service du « droit à ». Quant à la terreur, elle ne s’exprime pas forcément par des camps ou des fusillades de masse. Puisqu’elle consiste à affranchir le processus de tous les obstacles qu’il peut rencontrer, les nouvelles victimes innocentes par excellence sont les enfants conçus non encore nés, dont la possible liquidation est déjà prononcée par les grandes « avancées » du mouvement progressiste émancipateur, comme le soi-disant droit des femmes à disposer de leur corps. Combien de morts depuis quarante ans en France ? Combien dans le monde entier ? Rendons-nous à l’évidence, dans nos démocraties occidentales aussi les êtres humains sont superflus. Cette réalité légale n’a rien d’accidentelle puisqu’elle est idéologiquement justifiée et qu’elle constitue toujours un sujet majeur de la vie politique française. Pire, il faut toujours plus d’avortements, comme si les « sacrifices continuels » étaient la règle intrinsèque au système.<br />
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La légalisation de l’euthanasie dans de nombreux pays d’Europe vient offrir de nouvelles victimes. Rien de tel pour faire comprendre aux impotents, faibles et vieillards superflus que leur « sacrifice » est vivement souhaité. « Lorsqu’il est parvenu au calme bien connu qui est celui des cimetières, le totalitarisme, loin d’être satisfait, transforme aussitôt et avec une vigueur accrue l’instrument que constituait la terreur en une loi objective du processus » (4) précisait Hannah Arendt. La transposition de cette analyse du phénomène totalitaire aux temps actuels n’a, hélas !, rien d’incongrue. Quand on y réfléchit un peu, ce n’est pas l’homme qui se libère aujourd’hui, mais le processus révolutionnaire qui s’affranchit de l’humanité. Quelles seront les prochaines victimes ?<br />
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<strong>Joël Hautebert</strong><br />
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1. Qui n’a strictement rien à voir avec la conception classique de la loi naturelle ou du droit naturel.<br />
2. La nature du totalitarisme, p. 101, Payot, 1990. Rééd. 2006, 176 p., 22,50€.<br />
3. Le système totalitaire, p. 274, Seuil, 2005, 384 p., 9,80 €.<br />
4. La nature du totalitarisme, op. cit., p. 106.</p>Qu’est-ce qu’une nation ?urn:md5:27fc9130df8f80bf53210248217b7ec02014-11-21T08:48:00+00:002014-11-21T08:48:00+00:00comNDCactualitéAmitié françaiseFormationJean-Paul II<p>Un texte de Saint Jean-Paul II</p> <h2>Qu’est-ce qu’une nation ?<a href="http://www.laneuvaine.fr/"><img src="https://www.nd-chretiente.com/dotclear/public/images/2014_11/2014.11.15_Neuvaine_France_logo.png" alt="2014.11.15_Neuvaine_France_logo.png" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="2014.11.15_Neuvaine_France_logo.png, nov. 2014" /></a><br /></h2>
<h4><a href="http://www.laneuvaine.fr/quest-ce-quune-nation/">Un texte de Saint Jean-Paul II proposé par la "Neuvaine pour la France"</a><br /></h4>
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« Si, au nom de l’avenir de la culture, il faut proclamer que l’homme a le droit d’« être » plus, et si pour la même raison il faut exiger un sain primat de la famille dans l’ensemble de l’œuvre de l’éducation de l’homme à une véritable humanité, il faut aussi situer dans la même ligne le droit de la Nation; il faut le placer lui aussi à la base de la culture et de l’éducation.<br />
La Nation est en effet la grande communauté des hommes qui sont unis par des liens divers, mais surtout, précisément, par la culture. La Nation existe « par » la culture et « pour » la culture, et elle est donc la grande éducatrice des hommes pour qu’ils puissent « être davantage » dans la communauté.<br />
Elle est cette communauté qui possède une histoire dépassant l’histoire de l’individu et de la famille.<br />
C’est aussi dans cette communauté, en fonction de laquelle toute famille éduque, que la famille commence son œuvre d’éducation par ce qui est le plus simple, la langue, permettant ainsi à l’homme qui en est à ses débuts d’apprendre à parler pour devenir membre de la communauté qu’est sa famille et sa Nation. En tout ce que je proclame maintenant et que je développerai encore davantage, mes mots traduisent une expérience particulière, un témoignage particulier en son genre.<br />
Je suis fils d’une Nation qui a vécu les plus grandes expériences de l’histoire, que ses voisins ont condamnée à mort à plusieurs reprises, mais qui a survécu et qui est restée elle-même. Elle a conservé son identité, et elle a conservé, malgré les partitions et les occupations étrangères, sa souveraineté nationale, non en s’appuyant sur les ressources de la force physique, mais uniquement en s’appuyant sur sa culture. Cette culture s’est révélée en l’occurrence d’une puissance plus grande que toutes les autres forces.<br />
Ce que je dis ici concernant le droit de la Nation au fondement de sa culture et de son avenir n’est donc l’écho d’aucun « nationalisme », mais il s’agit toujours d’un élément stable de l’expérience humaine et des perspectives humanistes du développement de l’homme. Il existe une souveraineté fondamentale de la société qui se manifeste dans la culture de la Nation. Il s’agit de la souveraineté par laquelle, en même temps, l’homme est suprêmement souverain. Et quand je m’exprime ainsi, je pense également, avec une émotion intérieure profonde, aux cultures de tant de peuples antiques qui n’ont pas cédé lorsqu’ils se sont trouvés confrontés aux civilisations des envahisseurs: et elles restent encore pour l’homme la source de son « être » d’homme dans la vérité intérieure de son humanité.<br />
Je pense aussi avec admiration aux cultures des nouvelles sociétés, de celles qui s’éveillent à la vie dans la communauté de la propre Nation, ― tout comme ma Nation s’est éveillée à la vie il y a dix siècles ― et qui luttent pour maintenir leur propre identité et leurs propres valeurs contre les influences et les pressions de modèles proposés de l’extérieur.<br />
En m’adressant à vous, Mesdames et Messieurs, vous qui vous réunissez en ce lieu depuis plus de trente ans maintenant au nom de la primauté des réalités culturelles de l’homme, des communautés humaines, des peuples et des Nations, je vous dis: veillez, par tous les moyens à votre disposition, sur cette souveraineté fondamentale que possède chaque Nation en vertu de sa propre culture.<br />
Protégez-la comme la prunelle de vos yeux pour l’avenir de la grande famille humaine. Protégez-la! Ne permettez pas que cette souveraineté fondamentale devienne la proie de quelque intérêt politique ou économique. Ne permettez pas qu’elle devienne victime des totalitarismes, impérialismes ou hégémonies, pour lesquels l’homme ne compte que comme objet de domination et non comme sujet de sa propre existence humaine. »<br /></p>
<h4>Saint Jean-Paul II, Discours à l’UNESCO, Paris, 2 juin 1980</h4>