BENOÎT XVI : POLITIQUE, DIGNITÉ HUMAINE ET DROIT À LA VIE

Une déclaration faite le 28 octobre 2010

Déclaration de Benoît XVI recevant des évêques brésiliens

le 28 octobre - Souce V.I.S..
Il ne faudrait pas croire que la situation serait tellement bonne en France que ces propos forts ne concerneraient pas ceux qui nous dirigent.

"Lorsque les droits fondamentaux ou le salut des âmes l'exigent, les pasteurs ont le devoir d'exprimer un jugement moral, y compris en matière politique. Lorsqu'ils doivent émettre de tels jugements, il leur faut tenir compte du poids de préceptes négatifs et moralement inacceptables afin d'agir en faveur de la dignité humaine. Cela ne peut être adapté selon telle ou telle bonne intention...
"Toute défense des droits de l'homme sur les plans politique, économique et social serait totalement erronée et illusoire si elle ne prenait pas en compte la défense énergique du droit à la vie de la conception à la mort naturelle".
"Quand les projets politiques envisagent, ouvertement ou de façon dissimulée, de décriminaliser l'avortement ou l'euthanasie, l'idéal démocratique, qui n'est une réalité que lorsqu'il reconnaît et protège la dignité de toute personne humaine, est trahi dans ses fondements mêmes".
"nous ne devons pas craindre l'opposition et l'impopularité, refusant tout compromis et toute ambiguïté qui se conformeraient à l'opinion mondiale".
"Dieu a sa place dans la sphère publique, en particulier dans la dimension socio-culturelle, économique et politique".