dans l'émission "Terres de mission" du 29 octobre
samedi 04 novembre 2017
samedi 04 novembre 2017
dans l'émission "Terres de mission" du 29 octobre
vendredi 03 novembre 2017
Pour le Jubilé d'or à Praglia (Italie) fêtant les 50 ans de fondation de l'Association Saint-Benoit Patron de l'Europe, le Cardinal Robert Sarah a rappelé le lien étroit entre les racines chrétiennes de l'Europe et la liturgie.
Dimanche 15 octobre 2017
"Présent" du 13 octobre publie un entretien avec Martin Mosebach. Nous tenons à mieux faire connaître en France cet écrivain allemand.
vendredi 22 septembre 2017
Sermon du RP de Blignières pour la clôture du pèlerinage Summorum Pontificum à Rome
samedi 16 septembre 2017
Intervention du Cardinal Sarah le 14 septembre dernier à Rome
Dimanche 23 octobre 2016
L'Homme Nouveau – n°1625 du 5 novembre 2016
vendredi 13 février 2015
Interview réalisée le 12 décembre 2014, fête de Notre Dame de Guadalupe
Lundi 22 septembre 2014
Les mémoires du Père Louis Bouyer
Dimanche 14 septembre 2014
En ce jour de la solennité de l'exaltation de la Sainte Croix nous vous proposons un extrait du Vexilla Regis, hymne latine de Venance Fortunat, évêque de Poitiers. Il tient son nom de la première phrase : « Vexilla regis prodeunt...» Chantée pour la première fois le 19 novembre 569 quand une relique de la Sainte Croix, envoyée par l'empereur byzantin Justin II à la requête de sainte Radegonde, fut transportée de Tours au monastère de Sainte-Croix à Poitiers.
samedi 26 juillet 2014
suite du texte du cardinal Canizares, préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements
mercredi 16 juillet 2014
Un texte du Cardinal Cañizares, préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements
mercredi 12 mars 2014
Homélie du cardinal Castrillón à Saint-Pierre de Rome le 26 octobre 2013
jeudi 01 novembre 2012
Une réaction de Jean Madiran
mercredi 26 septembre 2012
"Chers frères et sœurs, en relation étroite avec la Parole de Dieu, la liturgie est une source précieuse pour grandir dans la prière. Elle est le « service » du nouveau Peuple de Dieu formé grâce au Mystère pascal. À travers elle, le Christ, grand Prêtre, continue son œuvre de Salut. En commençant ses travaux avec le thème de la « liturgie », le Concile Vatican II a mis en relief le primat absolu de Dieu.
Le critère fondamental pour la liturgie est son orientation à Dieu, qui nous fait participer à son œuvre, dont le sommet est le Mystère de la Mort et de la Résurrection du Christ. La Rédemption du monde et de l’homme est actualisée dans l’action du Christ à travers l’Église et dans la liturgie, particulièrement dans le Sacrement de l’Eucharistie et de la Réconciliation, et les autres actes sacramentels.
La liturgie est le lieu privilégié de la rencontre avec le Seigneur. Toute bonne célébration liturgique est une prière et un dialogue avec Dieu, caractérisé par l’harmonie entre ce que nous disons et ce que nous portons dans le cœur. Dans une telle attitude, nos cœurs se libèrent des pesanteurs d’ici-bas et s’élèvent vers le haut, vers la vérité et l’amour. Dieu lui-même nous donne les paroles justes pour nous adresser à Lui, par les psaumes, les grandes oraisons de la liturgie et dans la célébration eucharistique."
Sur son blog l'abbé Guillaume de Tanoüarn donne un beau commentaire de ces paroles de Benoît XVI :
Aujourd'hui, lors de l'audience générale Place Saint Pierre, le pape a eu ces mots qui méritent de rester à la postérité : "Là où le regard de Dieu n'est pas déterminant, tout le reste perd son sens. Le critère fondamental dans la liturgie est son orientation vers Dieu, nécessaire pour participer à son oeuvre".
Orientation vers Dieu : il s'agit avant tout de la prière du Ministre qui "élève son coeur" vers Dieu ; il s'agit de l'aptitude d'une liturgie à transporter l'assemblée dans le monde de l'Esprit et à pénétrer toute vie d'un élan intérieur irrépressible.
Mais le propre de la liturgie c'est d'inscrire dans le sensible l'effet intelligible que le geste porte en soi. On doit donc dire que le pape entend bien favoriser une célébration "tournée vers le Seigneur", où parce que les fidèles regardent tous dans la même direction avec intensité, le prêtre ne saurait leur faire face en fixant seul la direction opposée.
Autant dans la première partie de la messe, il est digne et juste qu'il y ait une pédagogie humaine, non pas pour faire obstruction à la Parole de Dieu avec des précompréhensions trop humaines, représentant nos pauvres préjugés, mais pour faire en sorte que cette Parole résonne telle qu'elle est. Pas besoin d'emballage !
"Vivante, en effet, est la parole de Dieu, énergique et plus tranchante qu’aucun glaive à double tranchant. Elle pénètre jusqu’à diviser âme et esprit, articulations et moelles" (Hébr. 4, 12).
Dans la première partie de la messe, la pédagogie consiste à ne pas censurer la Parole de Dieu (comme elle l'est dans certains lectionnaires), à ne pas l'édulcorer avec des traductions douceâtres ou simplement fausses. Pas besoin de prendre non plus un ton de circonstances. Rien n'est plus NATUREL que la Parole de Dieu, pas besoin de s'exciter : "Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas".
Autant durant le Sacrifice (offertoire, consécration, communion), il suffit de se laisser transpercer par l'action de Dieu. La messe n'est pas seulement une image analogique de la réalité du sacrifice de la Croix, image devant laquelle nous aurions à nous trouver dans les meilleures conditions possibles, comme à un spectacle, non ! Pendant le sacrifice nous sommes tous tournés vers le Seigneur. Le sacrifice de l'autel a lieu dans notre coeur, qui est la Crèche où repose l'homme-Dieu. Et le silence liturgique est la première manière de réaliser cette orientation spirituelle, en quoi consiste le sacrifice de la Messe.
Qu'est-ce que le sacrifice de la messe, sinon "ce qui manque à la passion du Christ", notre inclusion, notre participation au sacrifice de la Croix. Pour participer à l'oeuvre du Christ, que faut-il ? Des titres particuliers ? Des capacités supérieures ? Des actions d'éclat ? Non : comme le note Benoît XVI, il suffit que nous nous orientions vers lui. Orientation physique, liturgique. orientation spirituelle : c'est le cas de répéter avec Péguy que "le spirituel est lui-même charnel".
Et le pape ajoute que cette orientation est "le critère" d'une bonne ou d'une mauvaise liturgie. Si la liturgie ne nous oriente pas vers le Seigneur, elle n'est rien, qu'une gesticulation qui tiendrait soit du ballet soit de l'animation, mais pas de l'action sacrée. Il ajoute ici une dimension épistémologique" que la réforme liturgique a rendu indispensable. Comme il faut INTERPRETER Vatican II, il faut aussi INTERPRETER la liturgie qui en procède. Quels sont les critères ? Le pape n'en donne qu'un : l'orientation vers le Seigneur.
mardi 25 octobre 2011
Dimanche 30 octobre (calendrier St. Pie V) - Dimanche 20 novembre (calendrier Paul VI)
vendredi 07 octobre 2011
Fête de Notre Dame du Rosaire
mercredi 24 août 2011
Retour sur des fondamentaux
Lundi 15 août 2011
Un article de Jeanne Smits
Dimanche 14 août 2011
Patronne principale de la France
Lundi 01 août 2011
Retrouver le sens de la communion