Le respect de la vie – CITATIONS

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« Rappelons-nous que Dieu nous aime et que nous pouvons aimer les autres comme Il nous
aime. D’ici, doit partir à travers le monde, un cri d’alarme d’attention au maillon de la famille, un
cri de détresse à l’endroit le plus faible d’entre les faibles, l’enfant à naître
. »

BIENHEUREUSE MERE TERESA – ALLOCUTION DU 3 FEVRIER 1994, AU NATIONAL PRAYER BREAKFAST EN PRESENCE DU PRESIDENT CLINTON

« Je dis toujours : si une mère peut tuer son propre enfant, que peuvent faire les autres sinon
s’entre-tuer ? Dieu lui-même dit :”Même si une mère abandonnait son enfant, moi, je ne t’oublierais pas ! Je t’ai gravé dans la paume de ma main, tu es précieux pour moi, je t’aime !” Ce
sont les paroles mêmes de Dieu :”Je t’aime !”. Rappelons que vous et moi sommes précieux pour Dieu, il nous a aimés et nous aime avec tendresse.
Enseignez à vos enfants l’amour mutuel, apprenez-leur à respecter l’enfant, car de nos jours, dans de nombreuses écoles, on n’enseigne pas cela. C’est vous seuls qui pouvez le faire,
père et mère, qui pouvez aider l’enfant à être ce pour quoi il a été conçu et créé : aimer et être aimé.
Nous ramassons les gens dans la rue afin qu’ils puissant mourir dignement. La plus grande dignité d’un être humain, le plus bel aboutissement d’une vie humaine est de mourir dans la paix
de Dieu.
« 

BIENHEUREUSE MERE TERESA – ACTES DU 9 EME CONGRES INTERNATIONAL DE LA FAMILLE -PARIS, SEPT.1986

« Si nous acceptons qu’une mère puisse supprimer le fruit de son sein, que nous reste-t-il ?
L’avortement est le principe qui met en danger la paix dans le monde.
« 

BIENHEUREUSE MERE TERESA – AU MOMENT DE RECEVOIR LE PRIX NOBEL DE LA PAIX

« Apportons la paix dans le monde par l’amour, la compassion et le respect de la vie qui est le
plus beau don de Dieu. Aimons chacun : l’enfant à naître, le jeune, la personne âgée, le malade et
le pauvre, avec le même amour que Dieu a pour chacun d’entre nous, un amour tendre et personnel.
« 

BIENHEUREUSE MERE TERESA

« La vie surtout la vie humaine n’appartient qu’à Dieu ; C’est pourquoi celui qui attente à la
vie de l’homme attente en quelque sorte à Dieu lui-même. (…)
Défendre et promouvoir la vie, la vénérer et l’aimer, c’est là une tâche que Dieu confie à tout homme, en l’appelant, lui à son image vivante, à participer à la seigneurie qu’Il a sur le monde : « Dieu les bénit et leur dit : « Soyez féconds, multipliez-vous, emplissez la terre et
soumettez-la ; dominez sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel et tout être vivant qui rampe sur la terre. »(Gn1,28). (…)
Pas plus que de la vie, l’homme n’est maître de la mort ; dans sa vie comme dans sa mort, il doit s’en remettre totalement au « bon plaisir du Très-Haut, à son dessein d’amour. (…)
Le suicide, du point de vue objectif, est un acte gravement immoral parce qu’il comporte le refus de l’amour envers soi-même et le renoncement aux devoirs de justice et de charité envers le
prochain, envers les différentes communautés dont on fait partie et envers la société dans son ensemble. En son principe le plus profond, il constitue un refus de la souveraineté absolue de Dieu
sur la vie et sur la mort… (…)
L’avortement provoqué est le meurtre délibéré et direct, quelle que soit la façon dont il est effectué, d’un être humain dans la phase initiale de son existence, située entre la conception et la
naissance. (…)
Avec le magistère de mes prédécesseurs et en communion avec les Evêques de l’Eglise catholique, je confirme que l’euthanasie est une grave violation de la loi de Dieu, en tant que meurtre délibéré moralement inacceptable d’une personne humaine. Cette doctrine est fondée sur la loi naturelle et la parole de Dieu écrite ; elle est transmise par la Tradition de l’Eglise et enseignée par le Magistère ordinaire universel.
Une telle pratique comporte suivant les circonstances, la malice propre au suicide ou à l’homicide. »

JEAN PAUL IIEVANGELIUM VITAE

« A chacun, je demanderai compte de la vie de son frère. »

GENESE,9,5

« C’est moi (Dieu) qui fais mourir et qui fais vivre. »

DEUTERONOME,32,39

« Je ne sais de quelle manière vous avez reçu l’être dans mon sein ; ce n’est pas moi qui vous ai donné l’esprit et la vie, ce n’est pas moi qui ai formé votre organisme. C’est donc le Créateur de
l’univers qui a formé l’homme à sa naissance. »

MACCHABEES 7,22

« Quand de l’union conjugale des deux, naît un nouvel homme, il apporte avec lui au monde
une image et une ressemblance particulières avec Dieu lui-même. »

JEAN-PAUL II – LETTRES AUX FAMILLES GRATISSIMAM SANE (2 FEVRIER 1994)

« Fabriquer des enfants en bouteille, les modeler à notre guise, n’est ce pas la tentation de l’orgueil absolu ? Pouvoir enfin proclamer que l’homme est fait à notre image ! »

PROFESSEUR JEROME LEJEUNE

« Seul l’homme est appelé à partager par la connaissance et l’amour la vie de Dieu. Il a été créé à cette fin et c’est la raison fondamentale de sa dignité.
Parce qu’il est à l’image de Dieu, l’individu a la dignité de la personne. »

CATECHISME DE L’EGLISE CATHOLIQUE,356,357

« Quelle raison t’a fait constituer l’homme en si grande dignité ? L’amour inestimable par lequel tu as regardé en toi-même ta créature et tu t’es épris d’elle. »

SAINTE CATHERINE DE SIENNE

« C’est pour l’homme qu’existe la totalité de la Création. C’est à son salut que Dieu a attaché tant d’importance qu’Il n’a même pas épargné son Fils unique pour lui. Car Dieu n’a pas eu de
cesse de tout mettre en œuvre pour faire monter l’homme jusqu’à Lui et le faire asseoir à sa droite. »

SAINT JEAN CHRYSOSTOME

« L’homme en tant que personne possède des droits qu’il tient de Dieu et qui doivent demeurer vis-à-vis de la collectivité hors de toute atteinte qui tendrait à les nier, les abolir ou les négliger. »

PIE XI – MIT BRENNENDER SORGE

« L’origine et la fin de la vie sociale c’est la conservation, le développement, le perfectionnement de la personne humaine. »

PIE XII – NOËL 1942

« La cité est ordonnée à l’épanouissement de la personne humaine, à la condition d’apercevoir en même temps que l’épanouissement de la personne humaine n’est pas à lui-même sa règle supérieure et unique. La personne humaine n’est pas telle que tout se rapporterait à elle et qu’elle ne se rapporterait à rien. « Tout est à vous, mais vous êtes au Christ et le Christ est à Dieu ». »

JEAN MADIRAN – LE PRINCIPE DE LA TOTALITE

« Si tu veux la Paix, respecte la Vie. »

PAUL VI – 1ER JANV.1977

« Tant qu’un homme n’est pas coupable sa vie est intangible… Dieu seul est maître de la vie
d’un homme non coupable de faute entraînant la peine de mort. Le médecin n’a pas le droit de disposer de la vie du petit enfant, ni celle de sa mère ; et nul au monde, aucune personne privée,
aucun pouvoir humain ne peuvent l’autoriser à détruire directement sa vie. »

PIE XII – 9 NOV.1944

« La vie humaine est sacrée parce que dès son origine, elle comporte l’action créatrice de Dieu, et demeure pour toujours dans une relation spéciale avec le Créateur, son unique fin. Dieu seul est le maître de la vie, de son commencement à son terme : personne, en aucune circonstance,
ne peut revendiquer son droit de détruire directement un être humain innocent. »

CATECHISME DE L’EGLISE CATHOLIQUE,2258.

« L’avortement provoqué est le meurtre délibéré et direct, quelle que soit la façon dont il est
effectué, d’un être humain dans la phase initiale de son existence, située entre la conception et la naissance. »

JEAN PAUL II – EVANGELIUM VITAE

« L’embryon est donc un organisme, un être vivant. L’embryon humain est un être vivant avec
un patrimoine génétique humain. C’est donc bien un homme. (…)
L’embryon est un homme, mais est-il une personne ? Si certains hommes ne sont pas des
personnes, dans quelle société sommes-nous ? Les seuls hommes dans l’histoire qui n’ont pas été
considérés comme des personnes étaient des esclaves. »

FONDATION JEROME LEJEUNE – MANUEL BIOETHIQUE DES JEUNES

« Le petit de l’homme est un homme petit . (…)
Une société qui tue ses enfants a perdu à la fois son âme et son espérance. (…) Une civilisation qui ne respecte pas ses propres enfants n’a aucune raison de respecter la vie de ses
adversaires. »

PROFESSEUR JEROME LEJEUNE

« Nul d’entre vous ne vit pour soi-même, comme nul ne meurt pour soi-même, si nous vivons,
nous vivons pour le Seigneur et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Donc dans la
vie comme dans la mort nous appartenons au Seigneur. »

EPITRE DE SAINT PAUL AUX ROMAINS, 14,7-8

« La société propose qu’il n’y ait plus d’enfants trisomiques. Cette question devrait toucher
tout le monde, elle est fondamentale parce qu’on nous demandera bientôt : comment voudriezvous votre enfant ?
Voulez-vous un enfant cappucino ou à la cannelle ? C’est très facile de simplement éliminer
les trisomiques… Je suis très inquiet de toutes les tentatives faites pour perfectionner l’humanité. »

DAMON HILL – CHAMPION DE FORMULE 1 – PERE D’UN ENFANT TRISOMIQUE

« La science, à juste titre d’ailleurs est fière de ses immenses succès. Une chose cependant lui a été jusqu’à ce jour et lui sera à jamais impossible : créer la vie, faire sortir d’un laboratoire
d’un chimiste un grain de blé, une larve. (…) Dieu garde le pouvoir de créer la vie. (…)
Dans l’ordre végétal et animal les êtres vivants peuvent se croître et se multiplier ; encore leur fécondité ne se réalise-t-elle que dans les seules conditions établies par le Créateur. Mais dès
qu’il s’agit de la vie intellectuelle, Dieu se la réserve et c’est lui qui directement crée l’âme
raisonnable. Toutefois, il est un domaine dont Dieu est encore plus jaloux, c’est celui de la vie surnaturelle, puisqu’elle est une émanation de la vie divine communiquée à l’humanité par le
Verbe incarné. »

DOM CHAUTARDL’AME DE TOUT APOSTOLAT.

« En conformité avec ces points fondamentaux de la conception humaine et chrétienne du mariage, nous devons encore une fois déclarer qu’est absolument à exclure, comme moyen licite
de régulation des naissances, l’interruption directe du processus de génération déjà engagé, et surtout l’avortement directement voulu et procuré, même pour des raisons thérapeutiques. Est
pareillement à exclure, comme le Magistère de l’Église l’a plusieurs fois déclaré, la stérilisation directe, qu’elle soit perpétuelle ou temporaire, tant chez l’homme que chez la femme.
Est exclue également toute action qui, soit en prévision de l’acte conjugal, soit dans son déroulement, soit dans le développement de ses conséquences naturelles, se proposerait comme
but ou comme moyen de rendre impossible la procréations. (…)
On peut prévoir que cet enseignement ne sera peut-être pas facilement accueilli par tout le
monde : trop de voix – amplifiées par les moyens modernes de propagande – s’opposent à la voix de l’Église. Celle-ci, à vrai dire, ne s’étonne pas d’être, à la ressemblance de son divin Fondateur,
un « signe de contradiction » ; mais elle ne cesse pas pour autant de proclamer avec une humble fermeté, toute la loi morale, tant naturelle qu’évangélique. Ce n’est pas elle, qui a créé cette loi, elle
ne saurait donc en être l’arbitre ; elle en est seulement la dépositaire et l’interprète, sans pouvoir jamais déclarer licite une chose qui ne l’est pas à cause de son intime et immuable opposition au
vrai bien de l’homme.
En défendant la morale conjugale dans son intégralité, l’Église sait qu’elle contribue à l’instauration d’une civilisation vraiment humaine ; elle engage l’homme à ne pas abdiquer sa
responsabilité pour s’en remettre aux moyens techniques ; elle défend par là même la dignité des époux. Fidèle à l’enseignement comme à l’exemple du Sauveur, elle se montre l’amie sincère et
désintéressée des hommes, qu’elle veut aider, dès leur cheminement terrestre,  » à participer en fils à la vie du Dieu vivant, Père de tous les homme ». »

PAUL VIHUMANAE VITAE
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